
«Le Grand Jack» est le titre d'un docufiction sur Jack Kerouac, réalisé par l'ONF (Office National du Film).
Comme dans les questionnaires -oui, on le aime, ces petites bêtes- cochez A pour lire l'introduction publiée sur Littéranaute aujourd'hui même, je la reprends ici ou cochez B, vous pour visionner le docufiction. Cochez C -qui n'apparaît ni au recto ni au verso - méchantes petites bêtes, va!- pour lire (ou relire) le texte d'introduction et voir la vidéo -terme qui n'apparaît ni au recto ni au verso -méchantes bêtes, va!
A. «Le Grand Jack»
Il y a 40 ans, la mort emportait Jack Kerouac sur la route céleste de l'éternité: c'était le 21 octobre 1969. Il y avait longtemps que Jack Kerouac avait quitté la route terrestre, qu'il avait mis un point final à «On the Road». Ce livre qui a marqué toute une génération, nommée la «Beat Generation», et poursuivi sa route jusqu'à nous. Jack Kerouac nous a légué une œuvre à nul autre pareille, intemporelle. Une œuvre insensible au temps... aujourd'hui comme hier, et hier comme demain. Un héritage! Avec un bilan positif! C'est à nous de mettre la main dessus -et un œil ou deux...
Pour célébrer ce quarantième anniversaire, l'ONF (Office National du Film) présente un docufiction qui entremêle des archives, des photos, des entrevues et des reconstitutions d'époque dans le but de «décortiquer le mythe du héros», dixit le résumé, si tant est qu'on puisse éplucher un mythe... doublé d'un héros...
Ce docufiction entremêle, à l'aide d'images, la vie de Jack Kerouac et «On the Road», et en donne une vision juste et éclairante, poétique et rythmée. Le texte et la narration, d'Herménégilde Chiasson, sont à la hauteur. Il ne «décortique rien», et c'est heureux et... comme dirais-je, logique... plein de bon sens...
C'est, à ma connaissance, et de loin, le meilleur documentaire. Je le trouve excellent. D'autant plus, que l'on a retenu que de brèves séquences de l'entrevue (minable) Jack Kerouac avec Fernand Seguin, dans le cadre du «Sel de la semaine», où jamais sel de la sagesse ne fut plus rare.*
Ce docufiction saura vous captiver, vous émouvoir, vous projeter dans le monde de Jack Kerouac. Regardez-le avec les yeux du cœur..A. «Le Grand Jack»
Il y a 40 ans, la mort emportait Jack Kerouac sur la route céleste de l'éternité: c'était le 21 octobre 1969. Il y avait longtemps que Jack Kerouac avait quitté la route terrestre, qu'il avait mis un point final à «On the Road». Ce livre qui a marqué toute une génération, nommée la «Beat Generation», et poursuivi sa route jusqu'à nous. Jack Kerouac nous a légué une œuvre à nul autre pareille, intemporelle. Une œuvre insensible au temps... aujourd'hui comme hier, et hier comme demain. Un héritage! Avec un bilan positif! C'est à nous de mettre la main dessus -et un œil ou deux...
Pour célébrer ce quarantième anniversaire, l'ONF (Office National du Film) présente un docufiction qui entremêle des archives, des photos, des entrevues et des reconstitutions d'époque dans le but de «décortiquer le mythe du héros», dixit le résumé, si tant est qu'on puisse éplucher un mythe... doublé d'un héros...
Ce docufiction entremêle, à l'aide d'images, la vie de Jack Kerouac et «On the Road», et en donne une vision juste et éclairante, poétique et rythmée. Le texte et la narration, d'Herménégilde Chiasson, sont à la hauteur. Il ne «décortique rien», et c'est heureux et... comme dirais-je, logique... plein de bon sens...
C'est, à ma connaissance, et de loin, le meilleur documentaire. Je le trouve excellent. D'autant plus, que l'on a retenu que de brèves séquences de l'entrevue (minable) Jack Kerouac avec Fernand Seguin, dans le cadre du «Sel de la semaine», où jamais sel de la sagesse ne fut plus rare.*
B. Le Grand Jack, Herménégilde Chiasson, une réalisation de l'ONF